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Neige en Mézenc
Ici, la lumière de l’aube glaciale nous plonge dans un paradis éphémère où le vent acéré et la neige s’allient pour rajouter la puissance à la beauté.
Mézenc entre deux hivers
La mâchoire hivernale se desserre lentement, pugnace, face aux prémices toujours trompeurs d’un printemps fugace. Puis elle se referme très vite sur ces hauts plateaux. Dans l’ouverture, les plantes, les arbres, les animaux et les hommes s’empressent d’en profiter.
Nuit en Mézenc
La voûte céleste et les sommets se rapprochent la nuit, le plus, ici, c’est que rien n’arrête le regard. Alors on découvre la dimension dans la dimension, engoncé dans la doudoune et le silence.
L’autre montagne: ALPES
Là haut, je me suis senti toujours plus vivant, plus libre, plus vrai: je me suis réalisé.Haute vallée de la Loire
La Loire est ma rivière, celle à laquelle je suis relié viscéralement, parce que j’y ai goûté la liberté, l’insouciance; parce que cette vallée a construit ma personnalité; parce que j’y ai appris les valeurs humaines et parce que la générosité de la nature nous donne aujourd’hui la mesure de ce que l’humanité s’acharne à détruire.
Bestiaire sauvage
« C’est par l’attention à la finesse d’un complexe comportemental et émotionnel chez l’animal que nous finissons par mieux comprendre qui nous sommes, par le tissage de l’évolution qui nous relie à eux »
Baptiste Morizot
Bestiaire domestique
Au bord de l’eau : regard d’un pêcheur à la mouche
Dans mes yeux d’enfant, la pêche à la mouche paraissait inaccessible: une alchimie rare entre esthétisme, savoir et habileté. Aujourd’hui, le chemin parcouru m’a enseigné un peu plus…Tout se joue sur cette frontière: à l’interface étonnamment réfléchissante entre l’eau et l’air, dans le miroir de l’onde, reflet physique de ton corps et reflet spirituel de ton âme. Si tu es prêt, la surface de l’eau peut t’absorber comme si un mouchoir de papier absorbait toutes les pollutions futiles de l’esprit.
MER
Tout a changé dans ce monde sauf le roulement de la mer…
Natures mortes
Ciels d’orage
La lumière arrive à surgir du noir, contenue dans la masse sombre et inquiétante des nuages, elle se retient et « accumulo-nimbus » son énergie. Alors soudain à force d’accumuler et de contenir, elle éclate brutalement foudroyant le hasard de sa cible ou bien plus sage passe au travers du prisme des milliards de gouttes de pluie pour révéler sa nature. Tout est question d’anticipation pour le photographe.
Montagne Corse